Eglise Saint Aignan de Bègues
Proposée par : Marie-Claude Hugonplace de l'église - 03800
L'église Saint-Aignan a été construite au XIIe siècle. Elle est dédiée à saint Aignan († 453), évêque d'Orléans qui organisa la défense de la ville attaquée par les Huns d’Attila. (Il y est représenté sur un vitrail de Champrobert de 1876, faisant face au vitrail de «Carolus rex» du même auteur.)
La paroisse dépendait anciennement de l'abbaye Saint-Léger d'Ébreuil.
Elle a été construite au XIIe siècle en ce qui concerne la nef et le cœur, vers le XIVème siècle pour les absidioles.
Quant aux bas-côtés, ils datent de la fin du XVIIIe début XIXe siècle.
La sacristie ainsi que qu’un porte-caquetoire moderne sont rajoutés plus récemment .
XIXe siècle
De nouveaux vitraux ornent l’église :
-Saint-Aignan, patron de Bègues, est représenté en habit d’évêque, mitre et crosse épiscopale, il porte une aube blanche sous une chasuble rouge à claves et croix dorée. Il tient dans sa main droite une croix.
-La vierge à l’Enfant. Sur ce vitrail figure également les armes des Grivel, anciens propriétaires du château de Bègues. (face à l’église)
Ces deux vitraux sont signés du peintre- verrier A. Champrobert avec l’inscription « Clermont 1876 »
XXe siècle
Le vitrail de l’abside, quant à lui, représente une croix ornée de fleur de lys sur chaque branche et en son centre le Sacré-Cœur de Jésus, symbolisant l’image du cœur de Jésus, surmonté d’une croix qui brule d’amour pour tous. La couronne d’épines enserre ce cœur blessé par les péchés (22 mai 1922).
La découverte des peintures murales
Grâce à un généreux don d’une Béguoise cette église a été entièrement restaurée à partir de 1975. Les travaux s’étaleront sur plus de 30 années.
Des travaux de couverture et charpente ont d’abord été entrepris puis la réfection des crépis extérieurs a permis de consolider tout l’édifice.
Ce n’est qu’au début des années 2000 que les peintures murales ont été redécouvertes, révélant de véritables chefs d’œuvres des XIVe, XVe et XVIe siècle.
La façade occidentale
La façade occidentale s'ouvre par une porte en arc brisé abritée sous un porche établi postérieurement.
Le porche caquetoire
Ce porche-caquetoire moderne protège les vestiges d’une peinture murale (annonciation à la vierge XVème siècle) ayant eu sa partie inférieure détruite par la restauration de la porte. (photo 7)
Le portail
Le vantail droit de la porte présente un verrou du XIIIe siècle, en fer forgé, dont l'extrémité est ornée d'une tête d’animal à l’allure de tête de reptile.
La pierre gravée
Au-dessus de la fenêtre ouvrant sur les bras nord, est encastré dans un mur une pierre en andésite sculptée d'armoiries bûchées, sous une couronne.
illustration en attente, merci pour vos envois...
Le clocher
Le clocher carré, élevé sur la croisée du transept, est percé sur chaque face de deux baies en plein cintre.
Un cordon court au niveau des sommets des arcs. Une flèche de pierre, le couronne.
Ce clocher de pierre est le plus ancien du bourbonnais datant du début du XIIe siècle.
Il abrite une cloche du XVIIIe siècle offerte par la famille du Ligondes de Saint-Bonnet de Rochefort, parrains de la cloche.
Les modillons.
En contournant l’église, nous découvrons que l’arrière de l’absidiole nord comporte des modillons sur deux niveaux.
L’église de Bègues qui a été remanié plusieurs fois est dans son ensemble romane.
Cet édifice rural se compose d’une nef de trois travées, flanquées de bas-côtés, d’ un transept non saillant, qui donne accès à une abside et deux absidioles. En levant les yeux, on remarque que la nef et le transept sont couverts de berceaux brisés...
...tandis que les bas-côtés sont charpentés.
Les grandes arcades brisées sont portées par d’imposants piliers rectangulaires couronnés d’un chanfrein et renforcés par un triple cerclage. L’arc triomphal lancéolé est surmonté d’un mur diaphragme orné de peintures médiévales.
En regardant le chœur, on observe des statues de chaque côté :
- celle de sainte Philomène à droite : statue en plâtre polychrome du XIXème siècle, tenant dans la main gauche, la palme du martyre, sa main droite étant posée sur une ancre, qui promet le salut et qui est l’emblème de l’espérance;
- celle de Saint-Joseph portant l’enfant Jésus à gauche.
En entrant dans le chœur nous découvrons la statue de la vierge à l’enfant qui date du XVIIIe siècle. Posée sur un socle, elle est coiffée d’une couronne, symbole de sa position de reine des cieux. Elle porte Jésus sur son bras gauche.
Cette statue a été récemment détériorée, son visage et celui de l’Enfant sont noircis.
A proximité se tient la statue de Saint Expédit, sculpture en plâtre monochrome du XIXème siècle. Le saint est représenté en soldat, écrasant de son pied gauche un corbeau et tenant une croix dans la main droite.
La restauration des peintures murales de l’église Saint-Aignan, à l’exception de l’annonciation s’est faite en différentes tranches et a été réalisée par l’entreprise Denis STEVENOT de Clermont Ferrand.
Elle a débuté en 2002 par les décors peints du Chœur, puis continué avec les croisillons sud et nord, pour se poursuivre par la nef et se terminer enfin par les bas-côtés en 2008-2009.
Nous pouvons découvrir des peintures datant du XIV et XVIème siècle, dans la nef, le Chœur , le bras sud du transept ainsi que l’absidiole sud.
Les peintures du chœur et du transept
La scène de chasse parfaitement lisible ou figurent trois animaux : deux chiens poursuivant une sorte de chevreuil avec au milieu une frise représentant des feuilles de chêne stylisées. XVIème siècle.
Le cul de four de l’absidiole sud parfaitement restaurée.
La voute du chœur avec ses différents décors peints. Les frises de la voûte et le faux appareil polychrome sont du XVIème siècle. Le faux appareil monochrome rouge orné de deux motifs différents avec une alternance de fleurs de lys et de croix pattées est du XIVème.
La nef vue vers l’ouest, avec ses décors peints en faux appareil du XIVème siècle.
L’annonciation est l’annonce faite à la Vierge Marie de sa maternité divine par l’archange Gabriel, fêtée le 25 mars,(selon l’évangile de Saint Luc 1, 26-28)
Cette peinture du milieu du XIVème siècle, est située sous le porche et orne le tympan du portail occidental. Elle représente l’Annonciation qui malheureusement est tronquée dans sa partie basse, en raison d’un agrandissement de la porte.
Ce tableau est représenté avec un fond blanc et encadré de jaune et de rouge, une bande jaune marque le sol.
Au centre Marie est auréolée d’un nimbe rouge, elle porte une chape qui devait être bleutée à l’origine et qui recouvre une robe rouge. Ses mains sont levées et ouvertes à hauteur de sa poitrine, manifestant ainsi son acceptation. Son regard se porte soit vers le donateur ou soit plus vraisemblablement vers un autre personnage, entre elle et l’évêque, d’où il ne figure plus qu’une très petite bande de peinture rouge.
Il est à noter que la Vierge Marie se montre indifférente envers l’ange Gabriel, se montrant plutôt attentive à la présence du personnage vers lequel son regard est dirigé.
A gauche, un évêque portant une chasuble rouge à claves jaunes semble présenter le donateur de petite taille. Il est vêtu d’une soutane, certainement le prêtre de la paroisse, les mains jointes, son regard en direction de Marie. Le visage est particulièrement expressif avec des yeux en amande et des rides marquants les coins de la bouche.
L’animal fantastique
Cet animal fantastique est intéressant puisqu’on en voit une esquisse faite par l’artiste sur le mur sud du croisillon du transept. Sa représentation est symbolique du fait de sa présence dans la nef peint sur le mur diaphragme à la vue de l’ensemble des fidèles. Son corps velu avec une queue retroussée sur le dos, un peu comme celle d’un scorpion, ses pattes sont munies de trois griffes. L’allure est celle d’un félin, nous pouvons remarquer qu’il se saisit d’un animal, alors qu’il est chassé par un chien.
Découvrez les églises de la Route des Eglises Peintes du Bourbonnais
La Route des Églises Peintes du Bourbonnais
A côté des grands édifices religieux connus de tous les touristes, il existe dans nos territoires ruraux, dans un espace oublié de l’église locale, parfois cachés sous un enduit ou un badigeon de chaux, des peintures murales souvent exceptionnelles. Dans le département de l’Allier, la Route des Eglises Peintes du Bourbonnais en a identifié 24 décorées de peintures murales du Moyen-Age, entre le XIIe et le XVIe siècle. D’autres découvertes sont en cours ou à venir.
Notre but est de faire connaitre aux touristes locaux, nationaux, internationaux, le trésor patrimonial que représentent ces édifices. Vous les découvrirez le long de vos ballades sur les chemins de randonnées, sur les itinéraires cyclistes balisées du département, aujourd’hui sur votre smartphone. Souvent à l’écart des grandes routes, n’hésitez pas à faire un « crochet » pour découvrir le Bourbonnais, un pays préservé et riche de trésors simples que vous apprécierez.
Nous agissons auprès du Conseil Départemental, des Communautés de communes, des Communes, des Offices de Tourisme pour améliorer leur signalisation routière et touristique ainsi que la communication. Nous sommes à l’écoute de vos réflexions pour améliorer ces produits.
Pour les randonneurs, le GR 300 (chemin de Saint-Jacques) et la grande traversée du Massif Central passent à proximité de plusieurs de ces églises. Ne manquez pas de faire un « crochet ».
Eglise Saint-Symphorien de Biozat
Ouverte toute l’année de 9 à 18h.
Saint-Symphorien trône sur sa butte, vestige d’un oppidum qui commandait la voie romaine menant de Vichy à Clermont. Une restauration récente a mis en valeur une iconographie dont la pièce maitresse est un Christ souffrant, terriblement humain mais dont la mission divine est rappelée par le verset d’Isaïe inscrit à ses pieds. En face, à genoux, la Vierge en prières
Chapelle Notre-Dame de Briailles / St-Pourçain
Ouverte toute l’année sur RV 06 38 52 04 19
Perchée en haut de Briailles, la chapelle Notre-Dame bénéficie d’une vue dégagée explicitée par la table d’orientation. A l’intérieur, peintures murales des XIIe XIIIe et XVIIe siècles : un cycle marial, 34 médaillons au sens moral et religieux, une litre funéraire.
Eglise Saint-Mazeran de Brout-Vernet
Ouverte toute l’année de 10 à 18h.
Saint-Mazeran fut construite au XIe siècle sous les ordres de Mazeran. Sur le mur du chœur, il est représenté tenant un fil à plomb et une équerre. Dans la chapelle de droite, son sarcophage présumé découvert en 1974.
Eglise Saint-Laurent de Châtel-de-Neuvre
Ouverte toute l’année de 9 à 18h
Châtel vit naitre Aymar, le premier Bourbon connu. Son église, Saint-Laurent, qui de son promontoire domine le Val d’Allier est l’une des plus anciennes du Bourbonnais. Un martyre de saint Sébastien au réalisme saisissant daté du XVe siècle orne la chapelle sud.
Eglise Saint-Pierre de Chateloy / Hérisson
Ouverte du 01/05 au 01/10 de 10 à 18h Tél 04 70 26 82 83
L’église Saint-Pierre fut construite au XIIe siècle sur un éperon rocheux dominant la vallée de l’Aumance. Sur le mur sud figure le martyre de saint Principin, fondateur au Ve siècle de la première église du village aujourd’hui disparue. Ce martyre évoqué en plusieurs scènes se lit de droite à gauche. Un saint Christophe, un Dieu en majesté complètent l’iconographie.
Eglise Saint-Martial de Contigny
Ouverte toute l’année de 9 à 17h
L’église Saint-Martial date du XIe siècle et fut remaniée ultérieurement. Sur un pilier de la nef, une peinture gothique, témoigne d’un décor plus important. Un couple de donateurs, où la figure féminine se tient en avant d’un chevalier, est surmontée d’un blason devenu illisible.
Eglise Saint-Léger d' Ebreuil
Ouverte en été de 9h30 à 18h tous les jours. En hiver de 10 à 17h , sauf les mercredis.
A Saint-Léger, l’iconographie est axée sur la légende des saints. Parmi eux Austremoine, premier évêque de l’Auvergne, le pape Clément et les martyrs saint Pancrace et Martial, sainte Valérie, le tout complété par une frise qui déroule des scènes de chasse. A noter saint Georges, le chef d’œuvre du Maître d’Ebreuil.
Eglise Saint-Cyr et Sainte-Julitte d' Escurolles
Ouverte toute l’année de 9 à 17h
Dans le chœur de Saint-Cyr et Sainte-Julitte une composition datant du XIIIe siècle est centrée sur un Christ en majesté inscrit entre soleil et lune, un Christ sévère avec un masque triangulaire, un Christ sur fond sombre exceptionnel en Bourbonnais.
Eglise Notre-Dame de Fleuriel
Ouverte toute l’année de 9h30 à 18h.
Notre-Dame, étape de Compostelle, possède un ensemble de peintures où des anges musiciens symbolisent le ciel auquel un cortège de clercs souhaite voir accéder l’âme d’un défunt. A voir le chapiteau de saint Jacques.
Eglise Sainte-Croix de Gannat
Ouverte de 8 à 18h. Visite libre ou sur RV au 06 70 90 17 78
Entièrement restaurée en 2019. Peintures XVIe restaurées des chapelles. Peinture murale XVIe siècle, porté de Croix assez rare. Peinture sur bois : baptême du Christ XVIe. Bel ensemble de chapiteaux XIIe et de vitraux. A l’extérieur, chapiteau de la Nativité.
Eglise Notre-Dame d' Huriel
Ouverte toute l’année de 10 à 18h.
L’architecture de Notre-Dame est un condensé des styles auvergnat, berrichon et limousin. A voir : la voûte de la nef, la tribune, le tableau de l’école du Guerchin, les peintures murales des XIV et XVIIe siècles découvertes en 2003 : saint Martin et une Annonciation.
Eglise Saint- Martin de Jenzat
Ouverte toute l’année de 8 à 17h (19 en été).
Visite guidée à retrouver dans l’Application des BellesEglises.
L’église Saint-Martin de Jenzat à la frontière de l’Auvergne et du Bourbonnais est l’élément le plus remarquable de la Route des Eglises Peintes.
Où que se porte le regard, ce ne sont que peintures et décors d’une grande richesse d’inspiration.
Deux cycles retiendront particulièrement l’attention : la Passion du Christ, la tragédie de sainte Catherine d’Alexandrie. Dans l’abside, très rare, une imploration en temps de peste toutes catégories sociales confondues, hommes à droite, femmes à gauche.
Eglise Saint-Pierre de Loddes
Ouverte du 1/04 au 1/11 : lundi et vendredi de 9 à 18h, mercredi de 8 à 12h. Sur RV au 06 06 87 13 30
Saint- Pierre a été fondée au XIe siècle par les moines de Cluny.
Dans le chœur, le Christ dépose sur la tête de la Vierge une couronne d’or alors que deux anges les encensent. A noter la finesse et la souplesse du graphisme.
Eglise Saint-Pourçain de Louchy-Monfand
Ouverte du 1/04 au 1/10 de 10 à 17h30 Sinon 04 70 45 34 80 ou 06 20 92 51 04
Une restauration récente de l’église Saint-Pourçain a révélé trois fresques. La plus grande est une Adoration des Rois Mages très fouillée. Une autre précise que l’un des personnages représentés, dont un saint non identifié, repose dans l’église. Quant à celle de la nef, elle évoque une scène d’Amende Honorable.
Eglise Saint-Martin de Lurcy-Lévis
Ouverte toute l’année de 8 à 19h (18h en hiver).
Dans le chœur tréflé, classé, de l’église romane Saint-Martin, vous découvrirez une peinture du XVIe siècle représentant le Christ Pantocrator et les quatre évangélistes. A voir également la voûte et d’intéressants vitraux.
Eglise Saint-Saturnin de Mazerier
Ouverte de Pâques à la Toussaint de 10 à 18 h. Autres mois 04 70 90 16 59
Saint-Saturnin fut achevée au XIIe. L’adoration des Rois Mages date de 1383. Outre Gaspard, Melchior et Balthazar y figure le donateur Thévenin Vodable. Une partie de la scène reste à découvrir. Face à l’Adoration, une chasse aux faisans.
Eglise Notre-Dame de Saint-Germain-des-Fossés
Ouverte toute l’année de 7 à 19h.
Notre-Dame du Prieuré est un bel exemple d’art roman. Peintures médiévales naïves mises au jour dans la partie ouest de la nef. Sur un pilier sud, portrait en pied de saint Austremoine premier évêque d’Auvergne dès l’an 250. A sa base une représentation de la luxure.
Eglise Saint-Julien de Saulcet
Ouverte toute l’année de 9 à 17h
Saint-Junien se caractérise à l’intérieur par son caquetoire et sa flèche octogonale en pierre, à l’intérieur, par la variété de ses peintures autant que par leur qualité. Cette variété va de la peinture populaire assez grossière au décor le plus raffiné en passant par toutes sortes d’ex-voto. Fait exceptionnel, la majeure partie des murs et des voûtes est décorée, ce qui confère à l’édifice un caractère tout à fait singulier.
Eglise prieurale Saint-Pierre-et-Paul de Souvigny
Ouverte toute l’année de 7 à 21h. Visites guidées :04 70 43 99 75
Visite guidée à retrouver dans l’Application des BellesEglises.
Saint-Pierre-et-Paul a livré des fragments de peintures de qualité. Un saint Laurent, pourvu du gril emblème de son martyre, datant de l’époque gothique, a permis de localiser le lieu d’inhumation des saints abbés Mayeul et Odilon près de l’un des piliers nord de la nef. Des anges musiciens, gothiques, ont été découverts et restaurés dans la voûte de la Chapelle Vieille.
Ancienne église Saint-André de Taxat-Senat
Ouverte d’avril à octobre de 10 à 18h. Toute l’année, visite guidée sur RV 04 70 56 63 17 ou 04 40 58 27 13
Visite guidée à retrouver dans l’Application des BellesEglises.
Saint-André construite au XIIe siècle, vendue comme Bien National, aujourd’hui restaurée, fut longtemps laissée à l’abandon. L’iconographie y est abondante et les thèmes variés. Un Christ en Majesté, un Baptême de Jésus, un Agneau Pascal y cohabitent avec une Vierge à l’Enfant, une Annonciation, une Visitation, une Nativité, Une Adoration des Rois Mages.
Collégiale Saint-Pierre de Verneuil-en-Bourbon.
Ouverte toute l’année de 9 à 18h
La Collégiale Saint-Pierre abrite sur ses piliers trois peintures sous forme d’ex-voto. Y sont représentés le cardinal de Bourbon, saint Michel et l’évêque Charles de Bourbon.
A deux pas, la chapelle Notre-Dame sur l’eau recèle d’intéressants vestiges de peintures médiévales. Ouverte du 1/7 au 1/9
L’église Saint-Eloy de Vitray
Ouverte sur RV au 06 12 96 41 19
L’église Saint-Eloy de Vitray est d’une implantation antérieure au XIIe siècle. Les deux travées romanes de l’ensemble, entièrement peintes et récemment dégagées comportent des décors des XIIe, XIVe et XVe siècles. Le clocher à bardeaux remonte au XVIIe.